saint Luc

32ème dimanche du
Temps Ordinaire
Année "C" saint Luc

2 Martyrs 7,1..14
Psaume 16
2 Thessaloniciens 2,16-3,5
Luc 20,27-38

1

Lycée Militaire d'Autun

8 novembre 1998

Ils sont fils de Dieu en étant héritiers de la résurrection. (Concile Vatican II)

2

Brigade Franco-Allemande

11 novembre 2007

Livres des Martyrs d'Israëls

3

Fort Neuf de Vincennes

7 novembre 2010

Les Sadducéens

4

Secteur Vermandois

10 novembre 2013

Fin dernière de l’Homme

5

Athies et Nesle

6 novembre 2016

La résurrection des morts

6

10 novembre 2019

Des groupes religieux

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8 novembre 1998

Lycée Militaire d'Autun

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Ils sont fils de Dieu en étant héritiers de la résurrection

Où va l'activité humaine? En conclusion de sa réflexion anthropologique, l'Eglise répond : vers une transfiguration purifiée, où les valeurs, les aspirations et les efforts de l'humanité prendront en Dieu leur consistance éternelle. Il y a un certain lien entre le progrès terrestre et les croissances du Règne du Christ. Ce qui aura été fait dans la charité, pour un monde vraiment meilleur, ne passera pas. L'homme doit unir en lui-même l'espérance des accomplissements derniers et la réalisation: des tâches d'ici-bas qui, de quelque manière, les préparent.

Première partie : L'Eglise et la vocation humaine - Ch. 3 : L'activité humaine dans l'univers

[Terre nouvelle et cieux nouveaux]

39.§1. Nous ignorons le temps de l'achèvement de la terre et de l'humanité , nous ne connaissons pas le mode de transformation du cosmos. Elle passe, certes, la figure de ce monde déformée par le péché ; mais, nous l'avons appris, Dieu nous prépare une nouvelle terre où régnera la justice et dont la béatitude comblera et dépassera tous les désirs de paix qui montent au cœur de l'homme . Alors, la mort vaincue, les fils de Dieu ressusciteront dans le Christ, et ce qui fut semé dans la faiblesse et la corruption revêtira l'incorruptibilité . La charité et ses œuvres demeureront et toute cette création que Dieu a faite pour l'homme sera délivrée de l'esclavage de la vanité . Certes, nous savons bien qu'il ne sert à rien à l'homme de gagner l'univers s'il vient à se perdre lui-même , mais l'attente de la nouvelle terre, loin d'affaiblir en nous le souci de cultiver cette terre, doit plutôt le réveiller : le corps de la nouvelle famille humaine y grandit, qui offre déjà quelque ébauche du siècle à venir. C'est pourquoi, s'il faut soigneusement distinguer le progrès terrestre de la croissance du règne du Christ, ce progrès a cependant beaucoup d'importance pour le royaume de Dieu, dans la mesure où il peut contribuer à une meilleure organisation de la société humaine .

§3. Car ces valeurs de dignité, de communion fraternelle et de liberté, tous ces fruits de notre nature et de notre industrie, que nous aurons propagés sur terre selon le commandement du Seigneur et dans son Esprit, nous les retrouverons plus tard, mais purifiés de toute souillure, illuminés, transfigurés, lorsque le Christ remettra à son Père "un royaume éternel et universel : royaume de vérité et de vie, royaume de sainteté et de grâce, royaume de justice, d'amour et de paix" . Mystérieusement, le royaume est déjà présent sur cette terre ; il atteindra sa perfection quand le Seigneur reviendra.

IIème concile du Vatican (21ème œcuménique)
4ème session (14 septembre-7 décembre 1965)
Constitution pastorale "Gaudium et Spes " (7 décembre 1965)

11 novembre 2007

Brigade Franco-Allemande

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Livres des Martyrs d’Israël

Cette période de l’histoire du peuple de Dieu est un épisode dramatique. En premier lieu le roi Antiochus Epiphane pille le Temple de Jérusalem (175 avant Jésus-Christ) ce qui est vu comme un sacrilège (l’abomination des abominations) par les juifs pratiquants qui se révoltent et parmi eux la famille de Mattathias Maccabées.

Les deux livres des martyrs d’Israël relatent ces évènements sur la lutte contre l’hellénisme grandissant en Palestine et la présence d’autres pratiques religieuses dans la ville sainte de Jérusalem. Ils ont été écrits en hébreu mais le texte a été perdu, il est transmis par la traduction des Septante les juifs ne les reconnaissent pas comme livres inspirés, les protestants les considèrent comme apocryphes, l’Eglise catholique les nomme deutérocanoniques mais ils sont déjà inscrits dans le canon du pape Damase à la suite du Concile de Rome de 382.

La lutte que mènent les Maccabées contre les Syriens est une guerre sainte, une guerre de Dieu, comme celle qu’avaient menées jadis Josué (Siracide 46,3) et David (1Samuel 18,17 & 25,28) Il ne s’agit rien moins que de sauver ‘L’Alliance Sainte’, la ‘Loi’ C’est le sens des exhortations de Mattathias : « Brûlez de zèle pour la Loi et donnez votre vie pour l’Alliance de vos pères » 1M 2,50)

Le peuple ne doit pas craindre : c’est Dieu lui-même qui mènera le combat et procurera la victoire comme dans le passé. La nation se resserre pour se sauver : elle dit non à tout ce qui pourrait la contaminer, d’où la circoncision imposée de force à tous les enfants incirconcis trouvés sur le territoire d’Israël ainsi que le rapatriement de ceux que le séjour en pays ennemi expose à la persécution ou – pire – à la défection.

La victoire est marquée par la mort misérable d’Antiochus Epiphane ( cf. 2M 9,1-29) perçue comme une punition divine et surtout la purification du Temple et la dédicace du nouvel autel avec institution d’une fête commémorative de cet événement majeur (cf. 2M 10,1-8)

Le 2ème livre des Martyrs d’Israël est un des livres les plus riches de l’Ancien Testament : non seulement il reprend avec force certains éléments traditionnels de la doctrine biblique mais il l’enrichit d’éléments nouveaux et importants.

Père JeanPaul Bouvier

7 novembre 2010

Fort Neuf de Vincennes

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Les Sadducéens

Les Sadducéens apparaissent pour la première fois, en tant que groupe organisé, sous Jean Hyrcan (135-104 avant Jésus-Christ) A partir de ce moment, ils ne cessent de s'opposer aux Pharisiens, luttant avec eux pour s'assurer la prédominance politique dans le pays. Leur nom (Sadduqim) semble dériver de celui de Sadoq, le Grand Prêtre investi par Salomon (cf. 1R 2,35), dont les descendants se considéraient comme les détenteurs légitimes du sacerdoce israélite. Ils sont mal connus car ils disparaîtront dans la catastrophe de 70 en raison de leur lien étroit avec le Temple, et ils n'ont laissé pratiquement aucun écrit.

Si le mouvement Sadducéen compte dans ses rangs des laïcs, la plupart des membres appartiennent à la classe sacerdotale. Le Grand Prêtre et les prêtres en chef occupent parmi eux les premières places, et leur influence se fait surtout sentir dans le cadre du Temple puisqu’ils ont le monopole des sacrifices.

Laïcs ou prêtres, les Sadducéens se recrutent de toutes manières dans les classes aisées de la société Juive. Ils constituent un groupe assez fermé, fondé sur le privilège de la naissance et de la fortune, et n'exercent guère d'influence sur les masses populaires.

Proches du pouvoir, ils se montrent accueillants à l'hellénisme et conciliants à l'égard de l'occupant romain... dans la mesure où leurs privilèges sont sauvegardés. Ils préconisent donc la modération et s'attachent à contenir les mouvements insurrectionnels et messianiques. Le grand prêtre n’hésite donc pas à envisager de livrer Jésus : « Vous ne songez même pas qu'il est de votre intérêt qu'un seul homme meure pour le peuple et que la nation ne périsse pas tout entière. »(Jean 11,50) ; « Or Caïphe était celui qui avait donné ce conseil aux Juifs: ‘Il y a intérêt à ce qu'un seul homme meure pour le peuple.’ » (Jean 18,14)

C'est sans doute pour cela qu'ils jouent un rôle important dans les récits de la Passion de Jésus. Cependant, en 66, l'un d'entre eux déclenchera la révolte, et plusieurs n'hésiteront pas à payer de leur vie leur attachement à la Loi et au culte de YHWH.

Comme les Pharisiens, les Sadducéens ont leurs scribes, avec une théologie et un droit propre, qui n'ont été transmis que très fragmentairement puisqu'ils ont été supplantés ensuite par ceux des Pharisiens. Dans le domaine doctrinal, ils font figure de conservateurs intransigeants.

Rejetant toute tradition orale, ils s'en tiennent rigoureusement au texte de la Loi dont les prêtres sont, à leurs yeux, les seuls interprètes autorisés. Ils se montrent d'ailleurs très attachés à cette prérogative. Ils n'ont que dédain pour les développements dogmatiques récents et nient notamment l'immortalité personnelle, le jugement après la mort, la résurrection et, peut-être aussi, l'existence des anges.

Ils demeurent attachés aux conceptions des anciens sages d'Israël telles qu'elles s'expriment par exemple dans les livres des Proverbes ou de Qohélet : pour eux, la vie de l'homme aboutit au sombre séjour du Shéol. En outre, ils restent très distants par rapport aux spéculations apocalyptiques de l'époque.

Père JeanPaul Bouvier

10 novembre 2013

Secteur Vermandois

n° 689

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Fin dernière de l’Homme

Comme l’Avent dispose les cœurs à l’incarnation du Fils du Père par l’action de l’Esprit, comme le Carême prépare les croyants à la nouvelle inouïe de la Résurrection du Premier-né d’entre les morts, les lectures des derniers dimanches du Temps Ordinaire de l’Eglise proposent aux Baptisés une réflexion qui mène à la fête du Christ Roi de l’univers, c'est-à-dire lorsqu’il reviendra dans la gloire du Père, il ouvrira les tombeaux et nous surgirons, ressuscités.

Les questions que les contemporains de Jésus sur la résurrection des morts se posent sont aussi les questions que nous nous posons aujourd’hui, nous voudrions savoir comment cela va se passer ; les impossibilités se pressent dans notre esprit, l’exemple de la femme aux sept maris utilisé par ceux qui nient la résurrection nous interpelle et la réponse que donne Jésus ne nous satisfait pas pleinement.

Interrogé sur ce sujet, saint Paul répond : « Voici, je vous dis un mystère: nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité. » (1Corinthiens 15,51-53)

Le seul exemple que nous ayons de personne ressuscitée est le Christ. Il porte les traces de son supplice, les plaies aux mains et au côté, mais il entre dans des pièces barricadées (Jean 20,19), en le voyant les Apôtres pensent que c’est un fantôme (Luc 24,37), les hommes en marche vers le village d’Emmaüs ne le reconnaissent que lorsqu’il fractionne le pain (cf. Luc 24,13-33) Jésus est bien celui qu’ils ont suivi sur les routes de Palestine, mais il est aussi différent.

Le ‘disciple que Jésus aimait’ a une perception plus fine de la résurrection : par le Baptême où nous avons reçu l’onction divine, nous sommes devenus comme le Christ, et la résurrection nous apportera une ressemblance encore plus profonde : « Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. » (1Jean 3,2) Nous serons alors parfaitement configurés au Fils du Père, nous serons restaurés tels que le Père et le Fils nous ont créés dans l’Esprit : ‘Image de Dieu’ (cf. Genèse 1,26)

Cette projection vers la fin des temps ne doit pas nous faire oublier nos devoirs de chrétiens aujourd’hui, le Christ Ressuscité nous donne une mission en attendant son retour : « Jésus leur parla ainsi : Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » (Matthieu 28,18-20)

Père JeanPaul Bouvier
Curé in solidum du secteur Vermandois

6 novembre 2016

Paroisses Nesle & Athies

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n°904

La résurrection des morts

« Lorsque des frères habitent ensemble, si l’un d’eux meurt sans avoir de fils, l’épouse du défunt ne pourra pas appartenir à quelqu’un d’étranger à la famille ; son beau-frère viendra vers elle et la prendra pour femme ; il accomplira ainsi envers elle son devoir de beau-frère. Le premier-né qu’elle mettra au monde perpétuera le nom du frère défunt ; ainsi, ce nom ne sera pas effacé d’Israël. » (Deutéronome 25,5-6)

En s’appuyant sur cette loi que le Seigneur a donnée pour protéger les veuves sans enfants, les Saducéens cherchent à piéger Jésus sur le domaine de la résurrection. Pour les Saducéens, la vie ne s’arrête pas avec la mort, mais elle se poursuit au ‘Shéol’, le séjour des morts, d’une façon végétative sans être en présence de Dieu ; pour eux, la rétribution des œuvres accomplies se fait du vivant de l’homme et non pas après sa mort : un homme riche et comblé ne peut être qu’un homme aimé de Dieu.

L’hypothèse des Saducéens – une femme toujours sans descendance après avoir été successivement sept fois veuve de sept frères – repose sur une mauvaise compréhension de la résurrection ; en effet ils imaginent que cet évènement prêché par Jésus serait exactement comme la vie terrestre, en mieux, dans l’abondance des biens, sans maladie, ni vieillissement, ni mort. Une parfaite continuité ! Ils réagissent avec ce qu’ils connaissent sans écouter les paraboles de Jésus sur le Royaume de Dieu et sur la résurrection : « Ils auront beau regarder de tous leurs yeux, ils ne verront pas ; ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles, ils ne comprendront pas ; sinon ils se convertiraient et recevraient le pardon. » (Marc 4,12 cf. Isaïe 6,9-10)

Une fois de plus, Jésus reprend l’Ecriture pour faire comprendre que sa prédication est enracinée dans l’Ecriture. Pour les convaincre que leur conception de la résurrection est insuffisante, il cite le livre de l’Exode où Dieu se présente à Moïse comme étant « le Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob. » (Luc 20,38 cf. Exode 3,6) Les Patriarches à l’origine du Peuple de Dieu sont des serviteurs qui ont fait confiance au Tout-Puissant, ils sont avec lui, vivants dans l’adoration éternelle.

La Résurrection que Jésus présente n’est pas une ‘survie à l’identique’ mais une Vie en communion totale avec le Père, le Fils et l’Esprit Saint. Une Vie totalement transfigurée où nous aussi aurons « des vêtements blancs comme la lumière » (cf. Apocalypse 7,9) et nous pourrons parler avec Moïse et Elie (cf. Matthieu 17,1-6)

Ne cherchons pas à imaginer ce que sera notre vie de ressuscité, comme Abraham, Isaac et Jacob faisons confiance au Seigneur, suivons-le car il nous dit : « Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ; personne ne va vers le Père sans passer par moi. » (Jean 14,6)

Père JeanPaul Bouvier
Curé de la paroisse Notre Dame de Nesle
& Modérateur de la paroisse sainte Radegonde d’Athies

10 novembre 2019

Paroisses Nesle & Athies

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n°1114

Des groupes religieux

A l’époque de Jésus il y a de nombreux groupes religieux qui se réfèrent au ‘Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob’ :

  • Les Samaritains sont les juifs qui n’ont pas été déportés à Babylone lors de l’Exil (597-538) et dont la foi n’a pas été éclairée par les méditations des prophètes de cette période. Rejetés par Jérusalem, ils ont construit un autre Temple sur le mont Garizim (cf. Jean 4)
  • Les Esséniens estiment que le Grand-Prêtre de Jérusalem n’est pas le légitime descendant d’Aaron et ils se sont retirés dans des endroits écarté pour vivre leur foi en communauté quasi monacale. Ils attendent un Messie-Prêtre ET un Messie-Roi institués par Dieu.
  • Les mouvements baptistes se regroupent derrière un maitre pour vivre au mieux la foi juive.
  • La Diaspora regroupe tous les juifs partis à l’extérieur de la Palestine mais qui restent fidèles à la Loi de Moïse et aux prophètes qu’ils étudient et méditent dans leurs synagogues. Ils font des pèlerinages à Jérusalem lors des grandes fêtes (cf. Actes 2,8-11). Ils versent un impôt au Temple.

A l’intérieur de la Judée il y a surtout deux groupes qui s’opposent théologiquement :

  • Les Pharisiens, les plus nombreux, attachent une grande attention à la tradition orale (Targum et Midrash) parallèlement à la tradition écrite. Ils estiment que la Parole de Dieu est ouverte à des actualisations pour l’aujourd’hui. La synagogue permet que la lecture de la Loi et des prophètes soit longuement commentée cela prévaut sur le culte rendu dans le Temple même si celui-ci reste important. Ils croient à la résurrection des corps.
  • Les Saducéens ne tiennent pas compte la tradition orale et sont très attentifs aux prescriptions pour la célébration du culte dans le Temple. Pour eux la manifestation de l’amour de Dieu pour son peuple n’est que pendant la vie terrestre, après la mort les âmes vont au Shéol, privées de la présence de Dieu. Ils acceptent l’occupation romaine tant que celle-ci n’interfère pas avec le culte.

Les Pharisiens sont assez proches de Jésus, même s’ils cherchent à vérifier la justesse de ses prédications. Pour les Saducéens Jésus représente un danger, aussi bien doctrinal en annonçant la résurrection des morts que politique par les foules qui le suivent. C’est le souci du Grand-Prêtre lorsqu’il déclare : « ‘Si nous le laissons faire, tout le monde va croire en lui, et les Romains viendront détruire notre Lieu saint et notre nation.’ Alors, l’un d’entre eux, Caïphe, qui était grand prêtre cette année-là, leur dit : ‘Vous n’y comprenez rien ; vous ne voyez pas quel est votre intérêt : il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple, et que l’ensemble de la nation ne périsse pas.’ » (Jean 11,48-50)

Père JeanPaul Bouvier
Curé de la paroisse Notre Dame de Nesle
 et Modérateur de la paroisse saint Radegonde


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