Temps Ordinaire 27ème dimanche Année B

Genèse 2,18-24 - Psaume 127 - Hébreux 2,9-11 - Marc 10,2-16

1

Lycée Militaire d'Autun

8 octobre 2000

Jubilé 2000

2

Brigade Franco-Allemande

8 octobre 2006

L'épître aux Hébreux

3

Fort Neuf de Vincennes

4 octobre 2009

'On l'appellera femme'

4

Secteur Vermandois

7 octobre 2012

Vatican II

5

4 octobre 2015

Gloire, Honneur // Passion, Mort

6

Athies & Nesle

7 octobre 2018

Jésus n’a pas honte de nous appeler ses frères

7

3 octobre 2021

Identité et différence

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8 octobre 2000

Lycée Militaire d'Autun

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n°68

Jubilé 2000

Avec les évêques, apôtres de Jésus crucifié

En tous temps, la vie des Apôtres de Jésus sera en danger, on les rejettera du corps social, on les privera de leur gagne-pain ; on les mettra même à mort.

Mais dans la mesure où ils auront compris que le Christ est tout pour eux et qu'ils auront conformé leur vouloir au sien, tout le reste leur apparaîtra secondaire.

Ils sont armés pour le combat et leurs âmes s'appuient sur le roc inébranlable de Dieu : Ne craignez point.

Ils auront pour adversaires les docteurs et les pharisiens, les autorités et les puissances.

Ils auront l'impression d'être perdus, quand ils seront au contraire en sécurité.

Où ? Dans ce que Jésus nous a apporté de plus profond, dans la Providence.

Non pas l'ordre de la nature, mais l'ordre suscité par le Père en faveur de celui qui se donne à lui.

Dans la mesure où l'homme reconnaît Dieu comme son Père, s'abandonne à lui, il n'a pas de soucis à se faire.

L'option pour Jésus est soumise aux misères de l'instant où elle a lieu, mais elle fonde l'éternité.

Romano Guardini
Cité dans " Magnificat " ed. Tardy

8 octobre 2006

Brigade Franco-Allemande

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n°286

L’épître aux Hébreux

Comme son nom l’indique cette lettre a été écrite pour des judéo-chrétiens, c’est-à-dire des personnes issues du Judaïsme et converties au christianisme, probablement ceux de Jérusalem et de Judée. Elle aurait été écrite vers l’an 65 de notre ère, soit environ un lustre avant la destruction du Temple de Jérusalem par les romains.

Les idées et l’enseignement contenus dans cet ouvrage sont conforme à ceux de saint Paul, mais le style et la langue employés sont très différents des épîtres pauliniennes. Des exégètes ont suggéré qu’elle était de la main d’Apollos, disciple de Corinthe converti par Paul.

Toute l’argumentation de l’auteur tend à prouver que Jésus a apporté une alliance et un sacerdoce infiniment supérieurs aux anciens ; le sacerdoce d’Aaron n’est que préfiguration du véritable sacerdoce : celui du Fils Unique du Père.

Les prêtres juifs étaient pécheurs, Jésus est sans péché ; ils sont mortels et se succèdent de génération en génération ; le Christ est prêtre unique, éternel. Ils exercent leur sacerdoce dans un temple terrestre, Jésus exerce le sien dans le vrai sanctuaire, le Ciel.

Si les sacrifices juifs sont si nombreux et qu’ils se renouvellent d’année en année, c’est en raison même de leur inefficacité, le sacrifice du Christ est unique parce qu’il est souverainement efficace : il a rendu parfaits pour toujours ceux qui sont sanctifiés (cf. 10,14)

L’auteur insiste ainsi sur l’accomplissement des promesses faite par Dieu à son peuple. Moïse, le libérateur par excellence a été emporté aux Cieux pour y contempler le sanctuaire céleste et construire son imitation terrestre la Tente de la Rencontre pour le peuple errant dans le désert. Hiram, l’architecte de Salomon, bâtira le Temple à Jérusalem suivant le modèle de la Tente de la Rencontre. L’intronisation d’Aaron comme grand-prêtre répond aussi aux ordres donnés par le Seigneur et s’accompagne du sacrifice d’un grand nombre d’animaux. Jésus, après sa Résurrection entre dans le Temple céleste qui n’est pas fait de main d’homme et y présente à jamais à son Père le sacrifice scellé dans son propre sang

Les messes que nous célébrons ne sont pas de nouveaux sacrifices mais une participation au Sacrifice unique fait une fois pour toutes sur le Golgotha. Comme l’a dit le Christ au soir du Jeudi Saint : « Ceci est mon sang qui est répandu pour la multitude en rémission des péchés. »

Père JeanPaul Bouvier
Aumônier de la Garnison d’Immendingen

4 octobre 2009

Fort Neuf de Vincennes

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n°447

On l’appellera ‘femme’ !

Lors de la création de la femme, le premier homme, dans le second récit de la Création (Genèse ch.2) ne cesse de montrer son amour immédiat et la proximité de cet être que Dieu lui donne comme compagne avec les expressions sémites ‘Os de mes os’ et ‘Chair de ma chair’ sur vient surenchérir le néologisme ‘femme

Dieu a demandé à Adam de nommer tous les animaux après leur création (cf. Genèse 2,20) dans le Moyen-Orient ancien, le fait de nommer quelque chose, ou quelqu’un revient à en prendre possession ; ainsi Dieu fait que l’homme possède les animaux.

Pour la femme, il en est autrement, le nom que lui donne l’homme n’est pas une prise de pouvoir sur elle, mais cela n’est visible que dans le texte original. En effet, le nom choisit par l’homme n’est pas un nouveau nom comme pour les animaux, c’est une féminisation du masculin, en hébreu Ich (homme) est mis au féminin Ichçhâh (femme) Cela montre l’importance que Dieu à travers l’auteur inspiré veut donner à cette nouvelle relation. L’homme est la femme ne sont pas différents mais un seul et même être, mâle et femelle.

Quand on connaît la culture de ces pays anciens où la place de la femme n’était absolument pas valorisée, mais au contraire était considérée comme faisant partie de la fortune de l’homme, l’affirmation de l’égalité de l’homme et de la femme dans les textes sacrés devait être considérée comme ‘révolutionnaire’ et à contre courant de ce qui était vécu.

Dans le même temps, et Jésus reprend cette idée dans l’évangile, si l’homme et la femme sont égaux aux yeux de Dieu, ils ont des devoirs l’un envers l’autre parce qu’ils sont intimement liés l’un à l’autre. La question que posent les pharisiens à Jésus est – à nouveau – une question piégée : soit il justifie la répudiation soit il contredit la Loi de Moïse. Sa réponse ménage les deux en rétorquant que c’est à cause de la dureté du cœur des hommes que Moïse a formulé cette loi, mais ce n’était pas le projet de Dieu.

Les hommes (et femmes !) n’ont pas changé, leur cœur est toujours aussi dur, mais en faisant un Sacrement du Mariage, le Christ nous affirme que lui-même donnera une ‘grâce d’état’ à ceux qui s’engagent dans la voie du mariage pour vivre cette situation malgré la dureté des cœurs. Comme tous les Sacrements, celui-ci donne une force spécifique pour assumer cette nouvelle condition.

L’Eglise, à la suite du Christ, prend le contre-pied de la société en affirmant que le Mariage catholique est indissoluble, mais comme le Christ n’a jamais rejeté aucun pécheur, il appartient à ceux qui croient en lui d’accueillir chaque homme et chaque femme avec bonté et sollicitude.

Père JeanPaul Bouvier
aumônier de Vincennes

7 octobre 2012


Secteur Vermandois

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n°636

Vatican II

Le vingtième Concile œcuménique Vatican I (1869-1870) avait été suspendu en raison du conflit franco-prussien dont les ravages se faisaient sentir jusque des les couloirs du Concile ; la constitution dogmatique ‘Pastor AEternus’ définissant la primauté et l’infaillibilité du pape ayant été votée (18 juillet 1870) la tenue d’un Concile ne semblait plus nécessaire malgré le nombre de documents préparatoires qui n’avaient pas eu le temps d’être étudiés.

Pie XI (1922-1939) avait envisagé de continuer les travaux commencés mais le contexte international l’en avait découragé. Après la guerre Pie XII (1939-1958) avait repris ce projet mais les documents préparatoires lui ont semblé être complètement dépassés et il y renonça.

Lorsque le bienheureux Jean XXIII (1958-1963) annonce en 1959 qu’il est temps de convoquer un Concile, il n’envisage pas de continuer le précédent mais de partir sur des bases nouvelles et il demande l’étude de nouveaux documents préparatoires qui seront envoyés à tous les évêques du monde. En 1870, il y avait 700 pères concilaires, tous de race blanche, à majorité européenne ; le 11 octobre 1962 plus de trois mille évêques sont convoqués représentant 93 nationalités et 136 pays, ainsi que des observateurs, catholiques d’autres branches du christianisme, laïcs et clercs, hommes et femmes. Jean XXIII meurt le 3 juin 1963 et avant la fin de la première session de ce Concile (4 décembre 1963) qu’il a voulu et imposé contre l’avis de tous.

A la première session les pères concilaires dans leur ensemble rejettent les documents qui leur avaient été proposés, les jugeant trop abstraits et trop loin de la vie du monde et se mettent au travail en commission pour en constituer de nouveaux ; fait exception la constitution ‘Sacrosanctum Concilium’ sur l’aggiornamento de la sainte liturgie qui ne posait pas de problèmes majeurs à l’ensemble des pères, y compris dans la possibilité d’utiliser les langues parlées aujourd’hui, elle est votée à la quasi-unanimité le 4 décembre ; à noter que le Concile de Trente prévoyait déjà que des explications de ce qui se passait à l’autel soient données pendant la messe au peuple chrétien en langue courante : « le saint concile ordonne aux pasteurs et à tous ceux qui ont charge des âmes d'expliquer fréquemment, au cours de la célébration des messes, par eux-mêmes ou par d'autres, l'un des textes qui sont lus à la messe et, entre autres, d'éclairer le mystère de ce sacrifice, surtout les dimanches et les jours de fête. » (22ème session, 17 septembre 1562, Doctrine sur le très saint sacrifice de la messe chapitre 8)

Cinquante ans ont passé depuis la convocation du Concile de Vatican II, après une période de tâtonnements et d’initiatives plus ou moins personnelles, les tensions se sont un peu apaisées et nous découvrons chaque jour davantage la richesse de ces documents que l’Esprit Saint a voulus inspirer aux évêques réunis dans la basilique saint Pierre de Rome.

Père JeanPaul Bouvier
Curé in solidum du secteur du Vermandois

4 octobre 2015


Secteur Vermandois

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n°837

Gloire, Honneur // Passion, Mort

Là où les hommes voient un rejet par ses contemporains et une mort infâmante, l’auteur de l’épître aux Hébreux distingue dans la Passion et la Mort de Celui « qui a été abaissé un peu au-dessous des anges » la Gloire et l’Honneur de celui qui, par ses souffrances, offre le Salut à l’humanité. En même temps, il souligne la nécessité de l’Incarnation : il devait « avoir même origine » afin de sanctifier ses frères.

Dans le même esprit de glorification, les crucifix orientaux et les icônes représentent le Christ cloué à la croix mais debout et revêtu des ornements royaux : portant un manteau de pourpre et coiffé d’une couronne. Un Christ vivant, traversant les souffrances et la mort déjà en vainqueur et laissant deviner la Résurrection dans son Sacrifice.

Sur le moment les Apôtres, les compagnons, d’Emmaüs, les saintes femmes montant au tombeau étaient désespérés par la condamnation et la mort de Jésus ; ils ne pouvaient pas comprendre bien que le Christ les eût avertis : « Il commença à leur enseigner qu’il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, trois jours après, il ressuscite. » (Marc 8,31) Même lors de la première apparition du Ressuscité, « certains eurent des doutes » (Matthieu (28,17)

Ce n’est que lors des prédications, par la grâce de l’Esprit Saint, qu’ils annoncent que la Passion et la mort sont, pour le Fils du Père, une source de gloire et d’honneur pour lui-même et pour tous les hommes. Ainsi Pierre exprime cette révélation dans son discours de la Pentecôte : « Ce Jésus, Dieu l’a ressuscité ; nous tous, nous en sommes témoins. Elevé par la droite de Dieu, il a reçu du Père l’Esprit Saint qui était promis, et il l’a répandu sur nous, ainsi que vous le voyez et l’entendez. » (Actes 2,32)

Pour les chrétiens d’aujourd’hui, il est important de rappeler les souffrances que le Fils du Père a endurées pour nous et sa mort sur la croix, non seulement la souffrance physique mais aussi la souffrance morale de ne pas avoir été reçu par ceux qu’il est venu sauver. Mais il est tout aussi important de ne pas s’y arrêter dans un esprit janséniste et doloriste : la Passion et la mort conduisent à la Résurrection et à la Gloire, signes avant-coureurs de nos propre résurrection  et entrée dans la Gloire du Père.

L’auteur de l’épître aux Hébreux ne fait pas un exposé suivi de la foi chrétienne mais il montre dans toute sa lettre que le Christ est le sommet du projet de Dieu pour l’humanité, le sacerdoce de l’Ancien Testament préparait le sacerdoce du seul grand-Prêtre agréé du Père peut exercer où il est lui-même le prêtre, l’autel et l’agneau du sacrifice. (cf. 1Jean 4,10)

Père JeanPaul Bouvier
Curé in solidum du secteur Vermandois

7 octobre 2018

Paroisses Nesle & Athies

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n°1034

Jésus n’a pas honte de nous appeler ses frères

Si l’auteur de l’épître aux Hébreux est inconnu – elle a été longtemps faussement attribuée à saint Paul – ses destinataires sont précisés par son nom et l’adresse du début : « A bien des reprises et de bien des manières, Dieu, dans le passé, a parlé à nos pères par les prophètes ; mais à la fin, en ces jours où nous sommes, il nous a parlé par son Fils qu’il a établi héritier de toutes choses et par qui il a créé les mondes. » (Hébreux 1,1-2) Il s’agit de personnes issues du judaïsme qui maîtrisent très bien les textes de l’Ancien Testament et qui se sont convertis au Christianisme.

La révélation qui est faite à l’auteur est que les événements décrits dans la Bible juive sont des signes précurseurs de ce qui arrive maintenant dans la révélation du Fils et inversement que la prédication de Jésus avait déjà son germe dans l’Ancien Testament. Il n’y a donc pas de rupture mais une continuité dans le projet divin. Le Fils venu dans notre chair n’est pas une créature : il est avec le Père dès avant la création des mondes.

Cette épître aux Hébreux est le dernier livre du Nouveau Testament qui nous est proposé par la liturgie, restaurée par le Concile Vatican II, pour clôturer l’année « B » consacrée à l’évangile de saint Marc. Sa lecture suivie nous conduira à la célébration du Christ Roi de l’Univers, dernier dimanche de l’année liturgique.

La lecture du court extrait de ce dimanche résume d’une certaine façon l’ensemble de la lettre : le Christ s’est fait chair, avec un corps d’homme né d’une femme, identique au nôtre – à l’exception du péché, pour nous montrer que nous sommes appelés, comme lui, par le Père à la Gloire malgré les douleurs et même la mort : « Celui pour qui et par qui tout existe voulait conduire une multitude de fils jusqu’à la gloire. » (v.10)

Or, la Gloire de Dieu, la ‘Shékina’ dans la formulation juive, c’est la présence de Dieu ainsi qu’il est indiqué dans la vision du prophète (cf. Ezéchiel 1,1-28). Le Fils, par sa mort et sa Résurrection ; a fait entrer la nature humaine dans la Gloire, c'est-à-dire en présence de Dieu, Père, Fils et Esprit.

Frères par nature, nous sommes aussi frères par notre écoute de la Parole : « Celui qui fait la volonté de Dieu, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère. »< (cf. Marc 3,35) et si « Jésus n’a pas honte de les appeler ses frères », il demande la réciprocité : n’ayons pas honte de l’appeler notre frère !

Père JeanPaul Bouvier
Curé de la Paroisse Notre Dame de Nesle
& modérateur de la Paroisse sainte Radegonde

3 octobre 2021

Paroisses Nesle & Athies

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n°1238

Identité et différence

Dieu a demandé à Adam de nommer tous les animaux après leur création (cf. Genèse 2,20). Dans le Moyen-Orient ancien, le fait de nommer quelque chose, ou quelqu’un revient à en prendre possession de cette chose ou de ce quelqu’un ; ainsi Dieu fait que l’homme prend possession de tous les animaux.

Pour la femme, il en est autrement, le nom que lui donne l’homme n’est pas une prise de pouvoir sur elle, mais cela n’est visible que dans le texte original. En effet, le nom choisit par l’homme n’est pas un nouveau nom comme pour les animaux, c’est une féminisation du masculin : en hébreu Ich (homme) est mis au féminin Ichçhâh (femme) Cela montre l’importance que Dieu à travers l’auteur inspiré veut donner à cette nouvelle relation. L’homme est la femme ne sont pas différents mais un seul et même être, mâle et femelle.

Quand on connaît la culture de ces pays anciens où la place de la femme n’était absolument pas valorisée, mais au contraire était considérée comme faisant partie de la fortune de l’homme, une telle affirmation de l’égalité de l’homme et de la femme dans les textes sacrés devait être considérée comme ‘révolutionnaire’ et à contrecourant de ce qui était vécu.

Dans le même temps, et Jésus reprend cette idée dans l’évangile, si l’homme et la femme sont égaux aux yeux de Dieu, ils ont des devoirs l’un envers l’autre parce qu’ils sont intimement liés l’un à l’autre. La question que posent les pharisiens à Jésus est – à nouveau – une question piégée : soit il justifie la répudiation soit il contredit la Loi de Moïse. Sa réponse ménage les deux en rétorquant que c’est à cause de la dureté du cœur des hommes que Moïse a formulé cette loi, mais ce n’était pas le projet de Dieu.

Les hommes (et femmes !) n’ont pas changé, leur cœur est toujours aussi dur, mais en faisant un Sacrement du Mariage, le Christ nous affirme que lui-même donnera une ‘grâce d’état’ à ceux qui s’engagent dans la voie du mariage pour vivre cette situation malgré la dureté des cœurs. Comme tous les Sacrements, celui-ci donne une force spécifique pour assumer cette nouvelle condition.

L’Eglise, à la suite du Christ, prend le contre-pied de la société en affirmant que le Mariage catholique est indissoluble, mais comme le Christ n’a jamais rejeté aucun pécheur, il appartient à ceux qui croient en lui d’accueillir chaque homme et chaque femme avec bonté et sollicitude.

Père JeanPaul Bouvier
Curé de la Paroisse Notre Dame de Nesle
& modérateur de la Paroisse sainte Radegonde d’Athies


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