9 mai 1999
Lycée Militaire d'Autun
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Saisir Dieu en toutes choses
L'auteur est un grand nom de la mystique rhénane, professeur
de théologie à Paris au XIVème siècle.
Celui qui est tel qu'il doit être a Dieu près de lui
en vérité. Celui qui possède Dieu en vérité,
le possède en tous lieux, dans la rue et avec n'importe qui, aussi
bien qu'à l'église, dans un lieu solitaire ou dans sa chambre.
S'il le possède véritablement et en tous temps, nul ne peut
lui être un obstacle.
Pourquoi ?
Parce qu'il a Dieu et que son intention ne va qu'à Dieu seul, et
que toutes choses deviennent pour lui uniquement Dieu.
L'homme doit saisir Dieu en toutes choses et accoutumer son esprit à
avoir sans cesse Dieu présent dans son esprit, sa recherche et
son amour.
Considère quelles sont les intentions envers ton Dieu. Que tu sois
à l'église ou dans ta chambre, garde une disposition d'esprit
semblable ; porte-la dans la foule, dans l'agitation et la diversité.
Et comme je l'ai dit souvent, quand on parle d'égalité,
on n'entend pas qu'il faille apprécier de la même façon
toutes les œuvres, tous les lieux ou toutes les personnes. Ce serait absolument
faux, car prier est une œuvre meilleure que filer, et l'église
un lieu plus noble que la rue.
Mais tu dois avoir dans les œuvres une disposition d'esprit et une confiance
égale et considérer ton Dieu avec le même sérieux.
En vérité si toutes choses étaient aussi égales
pour toi, personne ne ferait obstacle à ce que Dieu te soit présent.
MAITRE ECKHART, O.P.
Mon Dieu, je crois fermement toutes les vérités
que tu as révélées et que tu nous enseignes par ton
Eglise,
parce que tu ne peux ni te tromper, ni nous tromper.
Acte de foi de l'Eglise Catholique
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27 avril 2008
Brigade Franco-Allemande
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Première Confirmation !
Dans le passage des Actes des Apôtres, Philippe est montré comme un prédicateur
hors pair et un thaumaturge ; il a vraisemblablement baptisé un certain
nombre de personnes ce qui prouve que les ‘Sept’ dont l’institution
nous était relatée la semaine dernière n’étaient pas seulement au service
des tables pour distribuer les nourriture aux chrétiens de langue grecque,
mais ils étaient des collaborateurs essentiels des Apôtres.
La rumeur parvient à Jérusalem où les Apôtres résident encore. Deux d’entre
eux, Pierre et Jean , sont délégués pour aller conforter ces communautés
naissantes. Le peu de sympathie que les Juifs ont envers les Samaritains
ne les arrête pas ; sans doute ont-ils à l’esprit la rencontre auprès
du puits de Jacob à Sykar où Jésus se manifesta d’abord à une femme puis
à toute la ville.
Arrivés sur place, ils complètent le Baptême au nom du Seigneur Jésus
par le don de l’Esprit concrétisé par une imposition des mains spécifique.
Il est difficile de ne pas voir dans cette démarche le Sacrement de la
Confirmation tel qu’il est vécu dans l’église occidentale aujourd’hui.
Les enfants sont baptisés tout petits pour devenir enfants de Dieu et
confirmés dans leur foi par l’évêque ou un de ses représentants (toujours
un prêtre ou un évêque) Lors d’un Baptême d’adulte, les trois Sacrements
(Baptême, Confirmation et Eucharistie) sont conférés en même temps.
A partir de la fin des années soixante-dix, en France, la Confirmation
a été retardée à un âge plus avancé à la demande (pressante) des aumôneries
de lycée et d’étudiants afin d’avoir un Sacrement à proposer à leurs participants.
Comme ces mouvements ne regroupent que peu de jeunes gens, beaucoup de
personnes maintenant adultes n’ont jamais été confirmées ! Elles
vivent du Baptême au nom du Seigneur Jésus comme les Samaritains
des Actes des Apôtres !
Il y a une démarche catéchuménale spécifique pour de telles personnes,
surtout que nombre d’entre elles participent activement à la vie de leur
paroisse ou de leur mouvement.
Ce qui amène la question : Et vous, avez-vous été confirmés ?
Père JeanPaul Bouvier
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29 mai 2011
Fort Neuf de Vincennes
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Un autre défenseur
Cette affirmation de Jésus à ses Apôtres avant sa mort et sa résurrection
a de quoi surprendre : n’est-il pas Celui qui va donner sa vie pour
toute l’humanité ? Ne s’est-il pas présenté comme l’intercesseur
unique devant le Père ? N’a-t-il pas promis d’être au milieu de nous
lorsque nous nous réunirons en son nom pour présenter nos prières au Père ?
Quelle nécessité pour les hommes et femmes d’avoir un autre défenseur ?
Il y a en fait deux défenses à assurer, le Fils nous défend auprès du
Père en offrant éternellement le sacrifice de sa vie pour le Salut de
l’humanité, mais l’Esprit Saint nous permet de nous défendre vis-à-vis
des autres hommes : il nous inspire les mots nécessaires pour affirmer
notre foi face à l’incrédulité des sociétés humaines pouvant aller jusqu’à
des persécutions sanglantes mais aussi celles qui sont insidieuses.
Cet Esprit donné par le Fils d’auprès du Père a favorisé le développement
de l’Eglise tout au long des siècles ; il a parlé et parle encore
de nos jours à travers des hommes et des femmes ordinaires que rien ne
distinguait à priori mais qui osent annoncer la Bonne Nouvelle.
Ces hommes et ces femmes n’appartiennent pas au passé, de génération
en génération le flambeau nous est parvenu, c’est à nous aujourd’hui de
laisser l’Esprit s’exprimer par nos bouches, par notre façon de vivre
et par nos actes. Rappelons-nous les paroles que l’évêque a dites lors
de notre confirmation : « Reçois l’Esprit Saint, le don de
Dieu ! » elles prennent tout leur sens si nous considérons
que ce don est actif en nous, ce n’est pas un dépôt statique mais une
force vivante qui pousse à proclamer l’Evangile.
Confiants dans ce « don de Dieu » nous pouvons entendre
et appliquer la parole de saint Pierre : « Vous devez toujours
être prêts à vous expliquer devant tous ceux qui vous demandent de rendre
compte de l’espérance qui est en vous. » C’est aussi ce que nous
dit saint Paul : « Annoncer l'Evangile, en effet, n'est pas
pour moi un titre de gloire ; c'est une nécessité qui m'incombe.
Oui, malheur à moi si je n'annonçais pas l'Evangile ! »
(1 Corinthiens 9,16)
Cette nécessité d’annoncer l’Evangile est souvent bloquée par notre pusillanimité
à nous révéler comme chrétiens. « N’ayez pas peur ! »
répète Jésus à ses Apôtres et à travers eux il s’adresse à nous, cet autre
défenseur nous donne les moyens d’être des témoins crédibles de la
Résurrection du Christ, signe de notre propre résurrection et de l’amour
du Père pour tous ses enfants.
Père JeanPaul Bouvier
Aumônier du Fort Neuf de Vincennes
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25 mai 2014
Secteur Vermandois
n° 753
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L’imposition des mains
Des hommes « estimés de tous, remplis d'Esprit Saint et de sagesse »
(Actes 6,3) ont été institués pour s’occuper de la communauté de langue
grecque de Jérusalem afin que les Apôtres restent « fidèles à
la prière et au service de la Parole. » (Actes 6,4) Sept sont
présentés aux Apôtres « et ceux-ci, après avoir prié, leur imposèrent
les mains. » (Actes 6,6) Peu de temps après cette institution,
« Philippe, l’un des Sept, arrive dans une ville de Samarie, et
là il proclamait le Christ. » (Actes 8,5) Beaucoup de Samaritains
crurent en cette parole et aux miracles que Philippe effectuait et reçoivent
le Baptême « au nom du Seigneur Jésus » (Actes 8,16)
Avertis de la conversion et du Baptême des Samaritains, les Apôtres envoient
Pierre et Jean qui, après avoir priés pour eux, imposent les mains sur
ces baptisés « et ils recevaient le Saint-Esprit. » (Actes
8,17)
Au cours des siècles, cette démarche n’a pas changé : des hommes
sont présentés à l’évêque par la communauté locale pour qu’ils l’assistent
dans sa mission d’évangélisation : après avoir prié sur eux l’évêque
impose les mains sur des diacres à l’intention de ceux qui pourraient
penser être délaissés, pauvres, malades, étrangers… et sur des prêtres
pour réunir la communauté, la former et la faire participer au sacrifice
du Christ.
De même, des hommes et des femmes, depuis l’enfance jusqu’à des personnes
d’âge plus avancé, sont baptisés, puis la communauté qui a baptisé ces
personnes prévient l’évêque qui vient leur imposer les mains après avoir
prié sur elles pour qu’elles reçoivent l’Esprit Saint.
Plus encore, l’imposition des mains est le seul élément qui soit commun
à tous les Sacrements de l’Eglise Catholique ; la prière qui accompagne
ce geste définit le sacrement :
- « Que la puissance du Christ te fortifie… » pour
le Baptême
- « Donne en plénitude l’Esprit qui reposait sur ton Fils »
pour la confirmation
- « Sanctifie ces Offrandes en répandant sur elles ton Esprit »
pour l’Eucharistie
- « Je te pardonne tous tes péchés » pour la Réconciliation
- La Bénédiction nuptiale et « Désormais vous êtes unis par
Dieu » pour le Mariage
- La prière d’ordination pour diacres, prêtres et évêques
- La prière donnant la force pour vivre avec la maladie pour l’onction
des malades.
Ainsi chaque étape de la vie chrétienne est marquée par un don spécifique
de l’Esprit Saint qui nous est conféré par une imposition des mains. L’Esprit
nous donne la force de vivre en chrétien en fonction de notre situation
personnelle : « vous savez donner de bonnes choses à vos
enfants, combien plus le Père du ciel donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux
qui le lui demandent ! » (Luc 11,13)
Père JeanPaul Bouvier
Curé in solidum du secteur Vermandois
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21 mai 2017
Paroisses Nesle & Athies
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n°942
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Tradition & transmission
‘Philippe, l’un des Sept’ sur qui les Apôtres ont imposé les mains
pour être au service des personnes de langue grecque (cf. Actes 6,1-7)
ne limite pas son ministère aux seules veuves de Jérusalem. Il porte la
Parole des Apôtres partout où il va. Il convertit et baptise ‘au Nom
du Seigneur Jésus’ ainsi de nombreuses personnes dans une ville de
Samarie où le grec n’est pas la langue la plus répandue. Puis inspiré
par l’Esprit Saint, il se dirige vers Gaza ; sur le chemin, il explique
Isaïe à un éthiopien qui lisait le prophète dans son char (cf. Actes 8,26-39)
et celui-ci demande également le Baptême et il le reçoit des mains de
Philippe.
Les Samaritains sont enfants ‘d’Abraham, d’Isaac et de Jacob’
mais ils n’ont pas été déportés à Babylone et ne connaissent que les livres
saints du Pentateuque. L’érection en Samarie d’un Temple du Seigneur sur
le mont Garizim (#330 av.J.C.) a matérialisé la séparation : « les
Juifs ne fréquentent pas les Samaritains. » (Jean 4,9) Malgré
cette rancœur, sur l’assurance que les habitants ont bien reçu le message
du Christ, les Apôtres Pierre et Jean viennent partager avec eux le don
du Saint Esprit qu’ils ont reçu à la Pentecôte. « Pierre et Jean
leur imposèrent les mains, et ils reçurent l’Esprit Saint. »
(Actes 8,17)
Les Apôtres ont été ainsi mis à part pour transmettre l’Esprit Saint
par l’imposition des mains afin d’envoyer en mission ceux qui en bénéficient.
A chaque fois les Apôtres précisent cet envoi : pour les ‘Sept’
aller vers ceux qui parlent grec, pour les Baptisés, être porteurs de
la Bonne Nouvelle par une vie nouvelle. Paul et Barnabé recevront la mission
pour fonder des églises là où ils iront (cf. Actes 13,2-3) et y établirent
des personnes veillant sur la foi (episcopos) : « Ravive
le don gratuit de Dieu, ce don qui est en toi depuis que je t’ai imposé
les mains. » (2Timothée 1,6)
La ‘Tradition apostolique’ est l’affirmation que les évêques sont
dépositaires de ce don de transmettre l’Esprit Saint par l’imposition
des mains afin de guider au Nom du Seigneur le peuple qui leur est confié :
ils sont missionnés par les Apôtres comme à travers un arbre généalogique
spirituel. A l’instar des Apôtres, ils s’entourent de ministères spécifiques
pour mener à bien la mission de veiller sur la foi du troupeau dont ils
sont les pasteurs. Des diacres reçoivent l’imposition des mains de l’évêque
pour accroître l’église locale par les Sacrements du Baptême et du Mariage
et par l’annonce et l’explication de la Parole ; des prêtres reçoivent
l’imposition des mains pour faire vivre la communauté chrétienne en la
nourrissant par le Sacrement de l’Eucharistie, en éclairant les consciences
par le Sacrement de Réconciliation et de Pénitence et en aidant les personnes
affaiblies à supporter les épreuves par le Sacrement des Malades.
Ainsi l’Eglise du XXIème siècle vit toujours de la prédication des Apôtres.
La formulation de la foi s’est affinée au cours des siècles par le discernement
des Conciles Œcuméniques mais elle revient toujours à l’essentiel :
« Le Christ, lui aussi, a souffert pour les péchés, une seule
fois, lui, le juste, pour les injustes, afin de vous introduire devant
Dieu ; il a été mis à mort dans la chair ; mais vivifié dans
l’Esprit. » (1Pierre 3,18)
Père JeanPaul Bouvier
Curé de la paroisse Notre Dame de Nesle
& Modérateur de la paroisse sainte Radegonde d’Athies
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17 mai 2020
Paroisses Nesle & Athies
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n°1150
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CoVid-19 :
64ème jour sans assemblées
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Les églises peuvent fermer
Nos cœurs restent ouverts
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Pierre et Jean leur
imposèrent les mains, et ils reçurent l’Esprit Saint (Actes 8,17)
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Grâce d’états
Pour éviter toute confusion saint Luc précise que Philippe est l’un des
sept à qui les Apôtres ont imposées les mains pour les mettre au service
des chrétiens de langue grecque (cf. Actes 6,1-7). Il ne s’agit pas de
l’Apôtre homonyme Philippe, l’un des Douze que Jésus a choisi parmi ses
disciples (cf. Luc 6,13-16).
Dans ce passage, saint Luc montre un homme qui ne s’occupe pas seulement
du « service des tables » mais un propagateur de l’Evangile
dont les prédications entraînent la conversion des auditeurs qui demandent
alors le Baptême « au Nom du Seigneur Jésus »
La rumeur parvient à Jérusalem où les Apôtres résident encore. Deux d’entre
eux, Pierre et Jean, sont délégués pour aller conforter ces communautés
naissantes. Le peu de sympathie que les Juifs ont envers les Samaritains
ne les arrête pas ; sans doute ont-ils à l’esprit la rencontre auprès
du puits de Jacob à Sykar où Jésus se manifesta d’abord à une femme puis
à tous les habitants de la ville (cf. Jean 4,5-42). Arrivés sur place,
ils complètent le Baptême « au nom du Seigneur Jésus »
par le don de l’Esprit manifesté par une imposition des mains.
Deux impositions des mains de la part d’Apôtres, deux conséquences apparemment
différentes mais toujours un don spécifique de l’Esprit Saint.
Dans les Sacrements de l’Eglise Catholique, le Père s’engage à donner
l’Esprit Saint à ceux qui le demandent par le Fils : « Si
donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos
enfants, combien plus le Père du ciel donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux
qui le lui demandent ! » (Luc 11,13) Cet engagement du Père
est manifesté par l’imposition des mains d’un ministre ordonné, elle est
accompagnée d’une prière particulière qui donne le sens du don de l’Esprit
Saint.
A ceux qui reçoivent ces impositions des mains, le Seigneur donne la
force et la capacité de vivre pleinement le Sacrement qu’ils ont reçu.
Conscients de cette grâce qui nous est faite, nous pouvons proclamer la
Gloire de Dieu devant tous nos frères et sœurs. Pensons à ce don lorsque
nous pourrons à nouveau nous réunir pour communier au Corps du Christ !
Père JeanPaul Bouvier
Curé de Notre Dame de Nesle
Modérateur de sainte Radegonde
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14 mai 2023
Paroisses Nesle & Athies
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n°1321
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Les Apôtres garants de la foi
Dans le passage des Actes des Apôtres, Philippe est montré comme un prédicateur
hors pair et un homme ayant un pouvoir de guérison ; il a vraisemblablement
baptisé un certain nombre de personnes cela prouve que les ‘Sept’
dont l’institution nous était relatée la semaine dernière n’étaient pas
seulement au service des tables pour distribuer équitablement la nourriture
aux chrétiens de langue grecque, mais ils étaient des collaborateurs essentiels
des Apôtres en particulier comme traducteurs en langue grecque ce que
les disciples annonçaient en araméen.
La rumeur parvient à Jérusalem où les Apôtres résident encore. Deux d’entre
eux, Pierre et Jean, sont délégués pour aller conforter ces communautés
naissantes. Le peu de sympathie que les Juifs ont envers les Samaritains
ne les arrête pas ; sans doute ont-ils à l’esprit la rencontre auprès
du puits de Jacob à Sykar où Jésus se manifesta d’abord à une femme puis
à toute la ville.
Arrivés sur place, ils complètent le Baptême au nom du Seigneur Jésus
par le don de l’Esprit concrétisé par une imposition des mains spécifique.
Il est difficile de ne pas voir dans cette démarche le Sacrement de la
Confirmation tel qu’il est vécu dans l’église occidentale aujourd’hui.
Les enfants sont baptisés tout petits pour devenir enfants de Dieu et
confirmés dans leur foi par l’évêque ou un de ses représentants (toujours
un prêtre ou un évêque) Lors d’un Baptême d’adulte, les trois Sacrements
(Baptême, Confirmation et Eucharistie) sont conférés en même temps.
A partir de la fin des années soixante-dix, en France, la Confirmation
a été retardée à un âge plus avancé à la demande (pressante) des aumôneries
de lycée et d’étudiants afin d’avoir un Sacrement à proposer à leurs participants.
Comme ces mouvements ne regroupent que peu de jeunes gens, beaucoup de
personnes maintenant adultes n’ont jamais été confirmées ! Elles
vivent du Baptême au nom du Seigneur Jésus comme les Samaritains
des Actes des Apôtres !
Il y a une démarche catéchuménale spécifique pour de telles personnes,
surtout que nombre d’entre elles participent activement à la vie de leur
paroisse ou de leur mouvement.
Ce qui amène la question : Et vous, avez-vous été confirmés ?
+Père JeanPaul Bouvier
Prêtre retraité – curé éméritent, et vous vivrez aussi
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