4ème dimanche de Pâques - Année "B"

Actes 4,8-12 - Psaume 117 - 1Jean 3,1-2 - Jean 10,11-18

1

Saint Charles de Monceau

21 avril 1991

le Bon Pasteur

2

Lycée Militaire d'Autun

14 mai 2000

Nous sommes appelés enfants de Dieu

3

Brigade Franco-Allemande

3 mai 2009

Vous avez dit "Vocations"

4

Fort Neuf de Vincennes

29 avril 2012

Pastores dabo vobis

5

Secteur Vermandois

26 avril 2015

Dimanche des vocations

6

Athiess & Nesle

22 avril 2018

Nous le verrons tel qu’il est

7

25 avril 2021

 

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21 avril 1991

Saint Charles de Monceau

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Le Bon Pasteur

Chaque année, ce dimanche est choisi pour nous faire réflechir aux vocations et tout spécialement aux vocations d'hommes ordonnés.

Le sacrement de l'ordre confère à celui qui le reçoit un service dans l'Eglise, une participation particulière au ministère du Christ. Il n'est pas question d'empiéter sur le ministère des laïcs, mais au contraire lui permettre de s'exprimer. Le Diacre, le Prêtre et l'Evêque sont au service du peuple chrétien comme le bon Pasteur qui va chercher les brebis qui s'égarent et qui garde le troupeau.

C'est l'Eglise toute entière qui est missionnaire. Chaque chrétien, baptisé et confirmé, est responsable de l'annonce de la Bonne Nouvelle, là où il se trouve. L'évêque est le garant de la foi et de la communion des personnes qui sont dans son diocèse, c'est pourquoi l'Eglise catholique a fait le choix que la Confirmation soit donnée par un Evêque ou son représentant direct. Le prêtre rassemble le peuple pour accroître sa sainteté par la célébration commune des sacrements de l'Eucharistie et de Réconciliation et de Pénitence. Le diacre fait grandir l'Eglise en lui adjoingnant de nouveaux membres par le Baptême.

Les hommes ordonnés sont choisis par l'Eglise. Il y a au départ un appel de Dieu, mais celui-ci doit être vérifié par l'Eglise, pas seulement les autres diacres, prêtres ou évêques mais par toute l'Eglise. Quelquefois, c'est le contraire qui se produit et c'est l'Eglise qui appelle tel ou tel homme en lui demandant de vérifier s'il n'est pas appelé par Dieu à se mettre au service du peuple chrétien. C'est ce qui se passe en particulier pour les évêques.

Aussi aujourd'hui où nous entendons l'Evangile du Bon Pasteur, nous ne pouvons pas seulement nous contenter de prier Dieu pour qu'il envoie des ouvriers à sa moisson, nous sommes invités à être acteurs, à rechercher autour de nous si nous ne pouvons pas révéler à des hommes l'appel que Dieu et l'Eglise leur font.

Père JeanPaul BOUVIER
Vicaire à saint Charles de Monceau

14 mais 2000

Lycée Militaire d'Autun

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Nous sommes appelés enfants de Dieu

La seconde lecture, extraite de la première épître de saint jean, nous rappelle que nous sommes enfants de Dieu, même si cela ne paraît pas encore clairement.

Qu’est-ce donc que cette filiation ?

Elle se situe à plusieurs niveaux

En premier, nous sommes créés, homme et femme, à l’image de Dieu (cf. Gn 1). Il n’y a pas eu que le premier couple qui a été créé par Dieu, nous le sommes quotidiennement ; chaque jour recréés, chaque jour engendrés. C’est cette grâce que nous recevons dans les Sacrements que nous vivons régulièrement, communion et confession : reconnaître que nous recevons notre vie de Dieu. Recevoir ne signifie nullement que nous en soyons pas autonomes, au contraire, c’est en acceptant de recevoir notre vie de Dieu que nous pouvons être pleinement homme.

En deuxième lieu, par le Baptême, nous avons été configurés au Christ qui est prêtre prophète et roi, mais qui est surtout le Fils unique de Dieu. Nous devenons donc aussi héritiers du Royaume, le Père nous a manifesté une nouvelle fois que nous sommes ses enfants.

En troisième lieu, notre rôle de témoins de la Résurrection fait de nous des nouveaux Christs oints par le saint Chrême lors de notre Baptême et de notre Confirmation. Nous sommes à notre tour des «appelants » qui invitent les autres hommes à reconnaître leur filiation et leur appartenance divine.

Ce temps de Pâques nous permet de revivre tout cela et d’en reprendre conscience, tout spécialement dans cette année jubilaire.

Père JeanPaul Bouvier
Aumônier du Lycée Militaire d’Autun

3 mai 2009

Brigade Franco-Allemande

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Vous avez dit vocation ?

Ce terme qui pendant longtemps a été synonyme d’appel de Dieu pour le servir en tant que prêtre, religieux, religieuse ou laïc, est maintenant largement galvaudé et utilisé pour des éléments qui ne sont pas du domaine de la spiritualité. Mais c’est le sort de beaucoup de mots qui étaient strictement chrétiens qui sont devenus communs dans le langage courant.

Le dimanche des vocations a pour premier but de proposer aux chrétiens de prier pour que des hommes et des femmes répondent à l’appel que Dieu leur adresse personnellement, ces appels peuvent être très divers puisque chaque personne est unique et aimée par le Père pour ce qu’elle est. Le discernement qui suit cet appel permet de le confronter aux besoins de l’Eglise. A chaque époque depuis la Création, Dieu a suscité parmi les humains des personnes dont l’action correspondait à une nécessité dans le Peuple de Dieu. Ce fut les exemples célèbres de Hénoch, Abraham, Jacob, Joseph, Moïse, les juges, les prophètes, la liste serait trop longue si elle était exhaustive !

Aujourd’hui, les croyants ont l’impression que Dieu n’appelle plus assez de personnes pour répondre à la mission. Mais déjà Jésus ne disait-il pas que ‘Les ouvriers sont peu nombreux’ (Matthieu 9,37) pour la propagation de l’Evangile ? En référence aux siècles passés, nous savons que la Bonne Nouvelle trouve toujours le moyen de se diffuser par de nouvelles formes en gardant le fond de la foi.

Le Christ venu dans notre chair a appelé des hommes et des femmes à le suivre pour recevoir son enseignement. Aujourd’hui le Christ glorieux intercède auprès du Père pour appeler d’autres personnes. Le Corps du Christ dans notre monde est l’Eglise, c’est à elle d’appeler à la suivre au nom du Fils Unique. L’institution humaine qui peut appeler personnellement ce sont les communautés locales et les membres de ces communautés ; c'est-à-dire à chacun d’entre nous.

Les vocations se sont taries parce que plus personne n’ose proposer une vie consacrée aux autres ; Osons appeler au Nom qui est au-dessus de tout nom (Philippiens 2,9) Non seulement appeler mais aussi accompagner dans la démarche de discernement. Nous serons alors véritablement une pierre vivante de l’Eglise du Christ.

Père JeanPaul Bouvier

29 avril 2012

Fort Neuf de Vincennes

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Le bon Pasteur – Dimanche des vocations
Pastores dabo vobis

Il y a vingt ans (25 mars 1992) le bienheureux pape Jean-Paul II écrivait cette exhortation apostolique en citant comme introduction la Parole de Dieu transmise par le prophète Jérémie (3,15) : « Je vous donnerai des pasteurs selon mon cœur, qui vous paîtront avec intelligence et prudence. » Cette promesse qui est renouvelée et élargie : « Je rassemblerai moi-même le reste de mes brebis de tous les pays où je les aurai dispersées, et je les ramènerai dans leur prairie : elles seront fécondes et se multiplieront. Je susciterai pour elles des pasteurs qui les feront paître ; elles n'auront plus crainte ni terreur ; aucune ne se perdra, oracle du Seigneur ! » (Jérémie 23,3-4)

Lorsque les chrétiens se lamentent d’un trop petit nombre de prêtres, ils font preuve d’un manque de foi en la Parole de Dieu ; de tous temps, Dieu a suscité des hommes et des femmes pour que le commandement du Christ Ressuscité : « Allez, de toutes les nations faites des disciples, baptisez-les au nom du Père du Fils et du Saint Esprit ! » (Matthieu 28,19) soit mis en œuvre. Cette évangélisation ne peut que porter du fruit et à l’intérieur de ces communautés vivantes des hommes entendront l’appel du Père pour être configurés spécifiquement au Christ ‘Bon Pasteur’.

« La moisson est abondante, mais les ouvriers peu nombreux ; priez donc le Maître de la moisson d'envoyer des ouvriers à sa moisson. » (Matthieu 9,37-38) ce n’est pas un dimanche par an que la prière des fidèles doit aller vers le Père pour avoir des ‘ouvriers à sa moisson’, chaque jour la supplication doit monter vers le Ciel et nous savons que nous serons exaucés : « Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est dans les cieux en donnera-t-il de bonnes à ceux qui l'en prient ! » (Matthieu 7,11)

Pour que cette prière puisse être efficace, il est nécessaire que les hommes qui ressentiront cet appel puissent rencontrer des prêtres heureux et épanouis dans le ministère qui leur est confié par l’Eglise, c’est donc la responsabilité des communautés locales d’être attentives à leurs prêtres, de participer avec foi et enthousiasme à leur mission afin qu’ils soient rayonnants de leur vocation. Rien ne saurait rebuter davantage un candidat au sacerdoce que de voir des prêtres malheureux, isolés ou abandonnés ! Quelle communauté pourrait prier sincèrement pour que Dieu invite des hommes à devenir prêtres si, dans le même temps, elle se désintéresse de ceux que Dieu lui a envoyés ?

Si pendant ce dimanche consacré aux vocations, les communautés locales sont dans l’action de grâce pour les prêtres qui leur ont été donnés, nul doute que l’appel retentira encore plus fortement dans le cœur de ceux qui l’ont entendu mais qui hésitent à y répondre.

Père JeanPaul Bouvier
Aumônier du Fort Neuf de Vincennes

26 avril 2015

Secteur Vermandois

n° 814

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Dimanche des vocations

« Le devoir de cultiver les vocations revient à la communauté chrétienne tout entière, qui s'en acquitte avant tout par une vie pleinement chrétienne. Ce sont principalement les familles et les paroisses qui doivent collaborer à cette tâche : les familles, animées par un esprit de foi, de charité et de piété, devenant une sorte de premier séminaire ; les paroisses offrant aux adolescents eux-mêmes une participation à la fécondité de leur vie. » (Concile Vatican II – Décret sur la formation des prêtres n°2 – 28 octobre 1965)

Nous déplorons une diminution du nombre des prêtres en Europe et en Amérique du Nord, mais le nombre de prêtres dans le monde ne cesse de s’accroître d’année en année. Ce constat devrait nous poser un certain nombre de questions auxquelles l’introduction de ce décret du Concile Vatican II répond en partie.

L’appel de Dieu se développe – sauf exception – dans un entourage dont la foi n’est pas exclue ; le modèle familial est primordial, l’apprentissage des prières essentielles de l’Eglise : le ‘Notre Père’, le ‘Je Vous salue Marie’, le ‘Credo’, etc… ne s’apprennent pas par cœur comme une récitation mais elles se savent parce que nous avons dit ces textes fréquemment avec des personnes qui les connaissaient, en général en famille avec les parents et la fratrie. C’est le véritable sens de la ‘Tradition’ : transmettre ce qui nous a été donné comme le Christ le demande : « apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. » (Matthieu 28,20)

L’appel de Dieu trouve une résonnance dans le cercle paroissial : en voyant des personnes épanouies et heureuses de venir rencontrer leur Seigneur dans les messes dominicales et qui manifestent leur joie de recevoir le Corps du Christ dans la communion. Les ramifications de la paroisse, groupes de rencontres, catéchismes et catéchistes, mouvements chrétiens sont autant de lieux où l’appel du Seigneur peut s’exprimer clairement.

Les églises jeunes où la foi s’exprime plus fortement et plus visiblement permettent davantage à de jeunes hommes d’envisager de se mettre au service de l’Eglise par l’ordination. Dans le tumulte de la vie moderne occidentale, il est indispensable que la famille et la paroisse procurent des espaces propices pour que l’appel de Dieu puisse être entendu. Nous devons y veiller.

Jean Paul II invitait à ne pas perdre espoir : « Le Synode est conscient de l'activité constante de l'Esprit Saint dans l'Église; il croit profondément que l'Église ne sera jamais totalement dépourvue de ministres sacrés... Même si, en diverses régions, on note une pénurie de prêtres, l'action du Père, qui suscite les vocations, ne manquera cependant jamais à son Église. » (Exhortation Apostolique ‘Pastores dabo vobis’ du 25 mars 1992) Prions et agissons pour que le Seigneur envoie des ouvriers à sa moisson.

Père JeanPaul Bouvier
Curé in solidum du secteur Vermandois

22 avril 2018

Paroisses Nesle & Athies

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n°1007

Nous le verrons tel qu’il est

Une question revient régulièrement dans les conversations des croyants : ils ne doutent pas de la résurrection des morts similaire à celle de Dieu-le-Fils, mais ils demandent ‘comment cela va-t-il se passer ?’. La première épitre de saint Jean tente cette approche : « Nous lui serons semblables car nous le verrons tel qu’il est ! » (v.2). Or, personne n’a encore vu le Seigneur Jésus tel qu’il est ! Les Apôtres, Pierre, Jaques et Jean en ont eu un aperçu le jour de la Transfiguration, mais pris à l’improviste, ils n’ont vu que l’immédiateté : « construisons trois tentes » plutôt que de contempler la Gloire de Dieu.

Les contemporains de Jésus étaient séduits par sa prédication, mais ils considéraient la chair humaine que le Fils avait voulu recevoir de la Vierge Marie, sa divinité était cachée à leurs yeux. Seules les personnes possédées par des démons dépassent l’apparence et le reconnaissaient : « Que nous veux-tu, Fils de Dieu ? Es-tu venu pour nous tourmenter avant le moment fixé ? » (Matthieu 8,28) car s’ils n’ignoraient pas le projet de Salut que le Père mettait en œuvre par son Fils, ils savaient que ce n’était pas encore le moment.

Les disciples eux-mêmes, poussés par l’Esprit, suivent Jésus mais la nouvelle du tombeau vide ne suffit pas à leur faire comprendre que les événements dont ils ont été les témoins sont l’aboutissement des Ecritures : « Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire tout ce que les prophètes ont dit ! Ne fallait-il pas que le Christ souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? » (Luc 24,25-26)

Philippe, un des tout-premiers Apôtres, à sa demande de ‘voir le Père’ n’obtient que cette réponse : « Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne me connais pas, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père. Comment peux-tu dire : “Montre-nous le Père” ? » (Jean 14,9) affirmation de l’unité qui existe entre le Père et le Fils.

Les chrétiens d’aujourd’hui font les mêmes erreurs : ils s’attachent à l’apparence, à ce qui se voit en non pas à la réalité qui est cachée derrière cette apparence ; ils ne voient que des hommes et des femmes là où ils devraient voir des frères et des sœurs. A la résurrection, en voyant toute l’humanité restaurée par le Fils dans la Gloire du Père, les apparences ne nous tromperont plus puisque nous verrons chaque personne telle qu’elle est et non pas telle qu’elle paraît…

Père JeanPaul Bouvier
Curé de la Paroisse Notre Dame de Nesle
& modérateur de la Paroisse sainte Radegonde

25 avril 2021

Paroisses Nesle & Athies

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n°1214

Prêtre ?

Dans l’ancien Testament, la fonction des prêtres était essentiellement de présenter les offrandes du peuple que ce soit les prémices des récoltes ou des sacrifices d’animaux. Il ne peut être question de vocation dans le cas de cette fonction, elle était héréditaire, le descendant en ligne directe d’Aaron était le grand-prêtre désigné d’office dans l’ordre de primogéniture masculine. Les prêtres, également descendants d’Aaron, revêtaient des vêtements spécifiques pour exercer  leur ministère (cf. Lévitique 8,6-13) l’entretien du Temple et des lieux était effectué par la tribu de Lévi.

Lorsque Dieu-le-Fils institue la Nouvelle Alliance en son sang, il demande aux participants de faire cela en mémoire de lui et à partir de cet instant, « tous les sacrifices de l’Ancienne Alliance parviennent à leur achèvement ; et quand il s’offre pour notre salut, il est à lui seul l’autel, le prêtre et la victime » (5ème préface de Pâques).  La fonction sacerdotale n’appartient plus alors qu’au Christ lui-même.

Les compagnons d’Emmaüs reconnaissent le Christ à la fraction du pain : « Quand il fut à table avec eux, ayant pris le pain, il prononça la bénédiction et, l’ayant rompu, il le leur donna. Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs regards. » (Luc 24,30- 31). De même les disciples au bord du lac après la Résurrection : « Jésus s’approche ; il prend le pain et le leur donne ; et de même pour le poisson. » (Jean 21,13)

La notion du prêtre a changé, ce n’est plus celui qui effectue le sacrifice mais celui qui présente le Pain rompu et le Sang versé dans lequel les fidèles reconnaissent le Fils éternel qui s’offre au Père le sacrifice perpétuel, donné une fois pour toute.

Cette conception du prêtre entraîne une identification de l’homme avec la personne du Christ dans cette nécessité de rassemblement pour célébrer cette action de grâce et donc dans le rôle de Jésus vrai berger qui a le souci de ses brebis individuellement et non pas seulement du rendement du troupeau.

Cette fonction est pleinement exercée par l’évêque, successeur des Apôtres. Nommé par le successeur de saint Pierre à  qui le Seigneur a dit : « Sois le pasteur de mes brebis » (Jean 21,16) et aussi : « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église ; et la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle. Je te donnerai les clés du royaume des Cieux : tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux. » (Matthieu 16,18-19)

Pour pouvoir mener à bien cette mission que le Seigneur lui confie, l’évêque discerne et appelle des hommes pour l’aider dans cette tâche : des prêtres pour sanctifier le peuple chrétien autour de la communion au Corps du Christ et du l’éveil de la conscience par le pardon d’autre part des diacres pour le service et l’accroissement de la communauté

Dans ce dimanche du Bon Berger, il nous est demandé de prier pour que nos communautés soient telles qu’elles donnent envie à des hommes de répondre joyeusement à cet appel.

Père JeanPaul Bouvier
Curé de la Paroisse Notre Dame de Nesle
& modérateur de la Paroisse sainte Radegonde d’Athies


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